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Ancien journaliste devenu écrivain, Claude pisano est reconnu pour ses ouvrages sur des sujets maritimes et géographiques. Pour cet ouvrage, ainsi qu'un précédent pour le centenaire de l'aéronautique navale, il s'est adjoint la collaboration de Joël Deville, ancien marin passionné par l'histoire de la Marine et des Marins, ayant participé aux recherches de la Marine Nationale à Vanikoro en 1964.
Un pan de l'Histoire de France s'ouvre avec clarté dans cet ouvrage. La confiance de la famille de Langle envers Claude Pisano lui permet d'accéder, exceptionnellement, à leurs archives et de découvrir Paul Antoine Fleuriot de Langle. Cet homme, grand navigateur, inventeur de procédés de navigation, héros de la Baie d'Hudson, soutien infaillible des Etats-Unis dans leur guerre contre les Anglais pour leur indépendance, humaniste, qui, au détriment de sa vie familiale, a préféré sans hésitation se mettre au service de son Roi et de la France. Sa fin tragique au cours de l'expédition La Pérouse qui, elle-même, disparaîtra mystérieusement en 1788, fera que la Marine et les passionnés d'histoire maritime chercheront sans cesse, depuis cette date, à en connaître le lieu et les circonstances. C'est ce qu'abordent les auteurs dans la deuxième partie de ce livre. Ces pages de l'Histoire de France, du siècle des Lumières fait d'évènements exaltants et d'hommes hors du commun qui enorgueillissent à juste titre et à jamais la France, raviront les lecteurs cherchant à s'informer agréablement sur cette époque, mais aussi aideront les jeunes scolaires de CM1, CM2 et 6eme à en comprendre le déroulement. |
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Issu de l'Ecole des Mousses, la seconde guerre mondiale s'impose à lui alors qu'il a seize ans.
Une fois breveté pointeur d'artirtellerie sur le Courbet, il est affeté à la protetion d'un pétrolier...
Après l'armistice, il connait les affres de l'attente aux Antilles sur le Béarn et ensuite sur le Bertin, ce qui lui donne de vivre des moments historiques lorsque l'équipage refuse de suivre les directives transmises par la hiérarchie émanant de Vichy en novembre 1942.
A partir de dbut 1643, la reprise du combat sur le croiseurs léger Le terrible l'amène en Afrique du Nord et sur les côttes italiennes où il participe axtivement aux débarquements de Salerne, puiis de Corse, avant de réintégrer le croiseur Emile Bertin sur lequel il s'illustre à Anzio par des tirs affinés, ainsiq qu'au débarquement de provence.
Un parcours impressionnant, ce qui confère une valeur incontestable à ce témoignage. |
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Diversification des routes maritimes, forte augmentation des tonnages transportés, extension des zones d'exploitation des ressources en mer, développement de la navigation de plaisance et des croisières : le monde qui se dessine devant nos yeux est de plus en plus bleu marine.
La puissance maritime reste au coeur de ces débats, présents et à venir. Sans moyens de surveillance et de contrôle des espaces maritimes, sans bâtiments de guerre et navires de surveillance de l'Etat, pas de liberté de circulation, pas d'exploitation contrôlée et responsable des ressources de la mer, pas d'activité de loisirs ou encore scientifique. L'exemple de la piraterie, endémique et largement renaissante, montre bien les limites du concept de res nullius lorsque les moyens de surveillance et d'action sont réduits.
Le siècle qui s'ouvre est celui de l'océan, bien commun de l'humanité, avenir de notre planète bleue. |
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Pensée et créée par Richelieu, structurée et actionnée par Colbert, l'armée navale, "La Royale" fut tout à l'image de Louis XIV, grande et brillante mais aussi orgueilleuse, fragile et éphémère.
De grands chefs de mer s'y sont illustrés et leurs noms sont connus de tous : Beaufort, d'Estrées, Duquesne, Tourville, Jean Bart, Forbin, Duguay-Trouin et bien d'autres.
Leurs campagnes et batailles navales, lieux de leurs exploits sont tous aussi célèbres : elles se nomment Solebay, Palerme, Alger, Bévéziers, Barfleur-la-Hougue, Lagos, Vigo ou Velez-Makaga.
Placées dans leur contexte du moment, cet ouvrage relate leurs actions qui contribuèrent au rayonnement de la France, à la gloire du Roi-Soleil et à la grandeur de la marine. |
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Le mois de février rappelle aux gens de la mer l'un des anniversaires les plus douloureux de leur histoire.
Le 15 février, en cette année 1855, La Sémillante, frégate de guerre en bois et à voiles, transportant environ 750 soldats et marins, ainsi que leur armement, est devenue le jouet d'un ouragan sans précédent. Malgré la compétence d'un équipage de haute qualification et d'un officier commandant aguerri, le vaisseau se perdit corps et biens dans les bouches de Bonifacio, en se fracassant sur les îles Lavezzi. Aucun témoin n'a pu fournir la moindre indication sur le déroulement exact de cet événement.
C'est dans un paysage d'habitude bucolique, sous un soleil chaleureux, dans un écrin unissant le saphir du ciel et l'émeraude de la mer, que se trouvent réunies les traces de ce tragique destin. Les témoignages figés dans la roche intriguent les estivants et les incitent au respect du souvenir.
Cet ouvrage rassemble et propose avec modestie les éléments écrits ou recueillis dans diverses sources analysées. Il tente d'apporter un peu plus de précisions sur les circonstances dans lesquelles La Sémillante, orgueil de la marine du Second Empire, placée sous les ordres du commandant de vaisseau Gabriel JUGAN, a connu son tragique destin.
Un soir, les rochers des îles Lavezzi m'ont confié... |
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Branle-bas de combat à bord de la Baleine ! En ce 4 août 1710, la bataille se prépare dans l'anse de Port-Cros et le capitaine Louis Beaussier est aux commandes.
Dans ce décor grandiose, les troupes anglo-hollandaises sont à pied d'oeuvre.
Nous voici plongés dans l'univers passionnant de la marine à voile pour suivre pas à pas ce combat historique, de ses préparatifs à son issue, et vivre de l'intérieur la vie sur une flûte royale.
Le souffle de l'aventure nous emporte ... |
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La Marine Nationale a ouvert ses portes à un dessinateur. Il n'est pas peintre de la Marine, mais il est Toulonnais. Et, comme nombre d'entre eux, il voulait savoir, depuis le temps, ce qu'il y avait derrière les grilles de la place Monsenergue, ce que cachaient les remparts de Malbousquet ou ce que protégeait encore le mur de la Pyrotechnie.
Voilà ce qu'il vous propose aujourd'hui, voilà ce que montrent ses remarquables dessins, voilà ce que décrit avec expertise et passion l'historien qui l'accompagne. Voilà le résultat d'une collaboration unique basée sur l'exigence et l'envie de partager ses richesses toutes proches et presque inaccessibles. Bassins Vauban, bastion de Missiessy, corderie royale, poudrière de Milhaud, frégates furtives, sous-marins et porte-avions nucléaire. Les bâtiments terrestres et les bâtiments de guerre sont liés par un même espace. Un site exceptionnel où les chefs d'oeuvres de l'ingénierie côtoient les monuments historiques. Base Navale, Arsenal du Mourillon et Pyrotechnie; trois lieux réunis pour l'occasion sous le titre générique d'Arsenal. Le sens est quelque peu corrompu, mais il décrit précisément cette bande littorale réservée à l'activité militaire et protégée depuis toujours. Voici venue l'occasion de se faire une idée des choses et de la découvrir enfin. |
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Avec ces Paroles d'officiers, "la Grande Muette" donne de la voix.
Avec l'abandon du service militaire par conscription, en 2001, les militaires et les armées ont quasiment disparu des préoccupations quotidiennnes de la majorité des Français.
Aujourd'hui, des officiers de toutes générations, cadres d'une société militaire tournée vers la réflexion autant que l'action, n'hésitent plus à s'exprimer.
L'amiral Jean Dufourcq, qui a quitté récemment le service actif, a sollicité un certain nombre d'entre eux. Ils ont dialogué en toute liberté, sans tabou ni langue de bois. Dépouillés, analysés et assemblés avec un regard extérieur à la fonction militaire par Jean-Claude Barreau et Frédéric Teulon, leurs propos révèlent une société bien plus complexe, diverse et ouverte qu'on ne le croit généralement.
Tous les sujets sont abordés, de la place des officiers dans la société française à la baisse de considération portée au métier des armes, de l'expérience du combat en Afrique ou dans l'ex-Yougoslavie au rôle de la dissuasion nucléaire et de l'OTAN... Les officiers répondent à des questions graves, souvent occultées : que signifie aujourd'hui mourrir pour la patrie ? A quoi sert l'armée ? La guerre en Afghanistan a-t-elle un sens ? Y a-t-il encore une doctrine stratégique française ? |
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Conscients de l'insécurité du trafic naval et des côtes de France, les rois capétiens s'efforcent de se doter d'une marine de guerre dès le haut Moyen-Âge. Mais, pour y parvenir, il leur fallut attendre Richelieu : le premier homme d'Etat français à concevoir le rôle d'une marine nationale en termes de sea power et de dissuasion modernes. Les moyens matériels de cette real politik seront réunis par Colbert qui, fort de son emprise sur l'appareil d'Etat de la Monarchie absolue, donnera à Louis XIV la plus puissante Marine de l'histoire de France.
L'Histoire de la Royale du Moyen-Âge au règne de Louis XIV est estinée aux amateurs d'histoire ainsi qu'aux étudiants, enseignants et chercheurs universitaires. Elle est élaborée autour des principaux textes législatifs adoptés entre la XIIIème et le XVIIIème siècle replacés dans leurs contextes politiques, militaires et sociaux; car, derrière les règles de droit, il y a des événements, des doctrines et des hommes. |
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Si la bataille d'Austerlitz, en 1805, atteste de la supériorité de Napoléon dans la guerre continentale, celle de Trafalgar, la même année, conforte la supériorité de l'Angleterre sur mer. La marine de l'Empereur ne sera plus jamais en mesure de porter atteinte à la domination de la Royal Navy. Pourquoi la marine française, si puissante à l'époque de Louis XVI et de la guerre d'indépendance des Etats-Unis d'Amérique, est-elle dans cet état d'infériorité pendant le règne de Napoléon ? Celui-ci oeuvre-t-il suffisamment à la reconstruction d'une flotte ? Quel rôle assigne-t-il exactement à la force navale ? Quel grand dessein doit-elle servir ? Autant de questions auxquelles ce livre solidement charpenté répond. La passionnante et méconnue histoire de la marine impériale, malheureuse héritière de celle de la Révolaution, reflète un rêve inachevé. Celui de l'Empereur, qui escompte encore, après 1810, de disputer sa suprématie maritime à l'Angleterre sans y parvenir toutefois, celui des marins, qui prouvent leur valeur dans des combats inégaux, en voulant redonner une âme à une marine autefois si glorieuse. |
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