AIRE DRACENOISE
 

Le pays Dracénois, ou la Dracénie, s'étend des contreforts des Maures aux falaises de la rivière Nartuby. Composé de collines, de garrigues et de maquis, les communes de l’aire dracénoise peuvent sentir la lavande, le miel et l’huile d’olive. Les villages respirent la Provence. Leur capitale, Draguignan, préfecture de 1797 à 1974, abrite le fleuron de l’artillerie française. Les artilleurs peuvent s’entrainer sur un terrain exceptionnel, le camp de Canjuers, qui a nécessité le redécoupage de certaines communes. Celle de Broves a disparu, on peut, de la route qui traverse ce camp, apercevoir l’ancien centre village qui a été conservé dans son état d’origine.

 


 

 

 

 

     

 

 

 

 

 AMPUS (871 hab.)
(Empus)

Comptoir romain, devenu ville féodale, ce village provençal authentique aux ruelles enroulées, au milieu  de collines boisées, possède une belle fontaine et un superbe chemin de croix.

 

 

 Vue du clocher

 

 Château

 Eglise St-Michel

 

 

   

   

 

   
   
 
   

 

 

Derrière l'Eglise, vous trouverez le Chemin de Croix ponctué de magnifiques mosaïques fixées sur les rochers où se situent les ruines de l'ancien château féodal, qui fut rasé en 1590 sur l'ordre du Duc d'Epernon, Gouverneur de Provence.

 

 

 suivez la flèche

 

   

   

 

 

   

 

 

   

 

   

 

 

   

 

   

 

 

 

LES ARCS (6 212 hab.)
(Lis Arcs)
 

Au cœur de la Provence médiévale, au milieu de vertes collines, de cultures et de vignobles,  se dresse la cité médiévale des Arcs avec son château fort du XIème siècle, ses vielles maisons et ses ruelles à grimper.
Non loin, se visite la Chapelle Sainte Roseline dans le domaine du château de Ste Roseline (ancienne abbaye).
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Le Donjon

 Cadran solaire

 

 

 Porte du Château des de Villeneuve

 

 

 

 Chapelle St-Pierre du Parage

 Monument aux Morts

 

 

 Chapelle Sainte-Roseline

 Château Sainte-Roseline

 

 

 

 

 

BARGEMON (1 464 hab)
(Bargemoun)

Au nord est de Draguignan, au milieu des oliviers et de la verdure, Bargemon le village médiéval  se dresse avec ses premiers remparts du XIème siècle et ses portes. Son cadre et son patrimoine ont du  séduire les hommes de sciences et les artistes qui y ont séjourné. On peut citer en particulier Louis MORERI, auteur du dictionnaire historique, Prêtre Docteur en Théologie, né à Bargemon le 25 mars 1643 et mort à Paris le 16 juillet 1680.

Les habitants de Bargemon étaient friands d'un gros boudin, le "bardoto", fait de sang et des boyaux de brebis et de chèvre. En étant de gros mangeurs, leurs voisins les surnommaient tout naturellement "lei Manjo-bardoto".

 

 

 

 

 

 

 

 

 Eglise Saint-Etienne

 

   

A la mémoire de MORERI

Le centre Village

 

L'ancienne prison



 

 

   

 

 

 
 



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