AIRE DRACENOISE
 

Le pays Dracénois, ou la Dracénie, s'étend des contreforts des Maures aux falaises de la rivière Nartuby. Composé de collines, de garrigues et de maquis, les communes de l’aire dracénoise peuvent sentir la lavande, le miel et l’huile d’olive. Les villages respirent la Provence. Leur capitale, Draguignan, préfecture de 1797 à 1974, abrite le fleuron de l’artillerie française. Les artilleurs peuvent s’entrainer sur un terrain exceptionnel, le camp de Canjuers, qui a nécessité le redécoupage de certaines communes. Celle de Broves a disparu, on peut, de la route qui traverse ce camp, apercevoir l’ancien centre village qui a été conservé dans son état d’origine.

 

 


 

 

 

 

     

 






 

 

BROVES (0 hab.)

Entre Bargème et Bargemon, l’ancien village de Brovès se situe en plein milieu du Camp de Canjuers. A la fin des années 60, faute de pouvoir agrandir le camp du Larzac, il est décidé de créer le camp de Canjuers. Ainsi le village de Brovès et les hameaux de Chardan et de Saint-Marcellin sont sacrifiés. Le 4 août 1970, Brovès n’existe plus administrativement. La population est déplacée vers le site, créé pour l’occasion, de Brovès-en-Seillans. Les archives municipales rejoignent Seillans. Sont aussi déplacés, les sépultures du cimetière, le monument aux Morts et la fontaine.

 De la route qui traverse le camp, on peut observer le village qui semble intact. Toutefois certaines habitations se dégradent, mais le plus surprenant, c’est la source du village toujours en activité dont l’eau qui coule dans le lavoir toujours en place et qui rappelle la mémoire des anciens et moins anciens qui y ont vécu.

 

 

 

 

 Vue du village

 Entrée du village

 

 

 

 La place centrale

 

 

 L'Eglise Saint-Christophe

 L'entrée de l'Eglise

 

 

   

 

 

   

 

 

   

 

 

 Le lavoir

 Le lavoir

 

 

 

 

CALLAS (1 776 hab.)
(Calas)

Existant bien avant le passage des Romains, Callas a pour origine le quartier de Pennafort.

Village de campagne doté de maisons élevées, les vieilles fontaines y sont nombreuses.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Monument aux Morts

 Eglise

   

   

 

 

 

 

 

 

CHATEAUDOUBLE (468 hab.)
(Casteu-Double)
 

Au VIème siècle, près du village, les gorges, qui se prêtent à l’escalade,  passaient pour être le repère d’un sinistre Dragon. Accroché à une falaise, Châteaudouble (anciennement Castellum diaboli) avec ses ruelles, ses voûtes, sa Tour Sarrazine, ses deux châteaux de part et d’autre de la rivière Nartuby, est entouré de paysages propices aux promenades.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

 

Entrée de l'Eglise

 

 


 

   

 

 

 
 



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