27 février au 3 mars 1981 : Singapour

Nous voilà dans un pays, une ile qui est séparée de la presqu'ile de Malacca (en Malaisie) que par un mince bras de mer que franchit un pont d'un kilomètre de long. En fait 40 petites iles environnent l'ile principale qui comprend essentiellement la ville. L'activité est intense, absence de chomage,modernité et traditions vont de paire. Lorsque la circulation devient dense, nous utilisons le trishaw, le cyclo pousse à deux personnes relativement bon marché.

 

 

  

 

 

 

 

 

Taxi local

 

 Activités nocturnes

 Dégustation

 

 Achat de K7

 La Jeanne à quai

 

   
   
   

 


 

 
   
   
   
 
   

 




 

 

   

 

12 au 18 mars 1981 : Bombay (Inde)

L'Inde au premier abord nous fait penser au Livre de la Jungle, à la spledeur des Maharadjas, à la chasse au tigre, aux lanciers du Bengale, ... Mais l'escale de Bombay nous rappelle les dures réalités de ce pays mystérieux, contrastes entre catégories sociales, richesses, pauvreté et misère.

 

 

 

 Le Forbin et la Jeanne à quai
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 La rue des filles en cage

 

 

   

 

 Billet de 2 roupies

 Billet de 20 roupies

 




 

 

 

 

 

 

 

 Eléphanta

 

 Agra

 Tashmal

 

   

 

 

 



 

 

 

   

 

25 mars au 6 avril 1981 : Djibouti

La république de Djibouti grande comme quatre départements français, nous reçoit à nouveau sur le trajet retour. L'objectif de cette escale, est le stage d'hydrographie effectué par les élèves, dont les données complèteront celles détenues par le Shom (Service Hydrographique de la Marine). Les plaisirs resteront les baignades au Héron et les soirées brochettes dans le quartier II.

 
   

 

 


 

 

 

L'EV PAIRE

 

L'EV DO0NNOT

 

 

 

 

   
   
   
   
   
   

 

 

 




 

    

Passage du Canal de Suez

Sur ce bâtiment il est une tradition, c'est d'effectuer un challenge : les 20 heures de Suez. Le but est de courrir autour du pont d'envol avec des relais et d'effectuer la plus grande distance. Pour cette fois il ya eu 202 participants qui ont effectué au total 286,71 kilomètres.

 

 

 

 

 Le Forbin suit la Jeanne d'Arc

 

 

 

 
 
 

 

 

 

 

   

 

15 au 20 avril 1981 : Athènes (Grèce)

La Grèce n'est pas seulement un pays de tradition agricole, mais aussi un pays de tradtion maritime. Depuis l'antiquité les Grecs naviguent, et de ce fait leur culture a rayonné dans le bassin méditerranéen. Nous faisons donc escale dans le port du Pirée, La visite de l'Athènes Antique est obligatoire, avec la découverte de l'Acropole et du temple d'Athéna Niké (souvenirs de la classe de 5ème). Les soirées nocturnes se passent dans le quartier typique de la Plaka, situé au pied de l'Acropole, avec ses restaurants traditionnels et ses traditions comme le jeté d'assiettes à l'issue du repas.

 

 

   

 

 

 

 

 

  L'Acropole

 

 

  Athènes

  Ile de Santorin

 

   
   
 

 Santorin

 


 

 

 

 

 Hydra

Santorin 

 

 Hydra

 Hydra

 

 

 



 

 

 

    

 

30 avril 1981 : Arrivée à Brest

Par tradition, et c'est à prendre au deuxième degré, le retour au port de Brest se fait toujours avec un rappel sur le pays.

La Bretagne, comme les Bretonnes, est primaire et plate. Elle est primaire parce qu'elle date de l'ère du même nom qui lui a donné quelques montagnes vite écrasées sous la pluie (ça n'a pas duré longtemps). Aussi est-elle plate et ne culmine, aux Monts Tarrée, qu'à 384 mètres.

La Bretagne est peuplée de Bretons, ce qui est normal mais angoissant. On ne connait pas leur nombre parce qu'ils ont toujours chassé de chez eux les agents du recensement ou que ceux-ci ont été terrassés par un coup de gwen-ru avant la fin de leur mission.

Les Bretons parlent le Breton, ce qui est normal mais incompréhensible. Certaines phrases ne se traduisent pas : par exemple, "il fait beau", n'a pas de traduction.

Les Bretons sont religieux. Ils ont plus de saints dans leur calendrier que de gouttes de pluie au mètre carré, et comme ils ont beaucoup de choses à se faire pardonner, ils font de grands pardons.

Quelques spécialités :

- le cidre qui peut avoir des effets néfastes sur le transit intestinal. Il est souvent bouché, comme le temps et les Bretons;

- le chouchen;

- le vin de la presqu'ile du Rhuys. Il faut être quatre et un mur pour le boire, un qui verse, un qui boit, deux pour le tenir et un mur pour l'empêcher de reculer. Malheureusement, les Bretons ne font qu'une consommation modérée de ces sains breuvages. En effet une drogue importée, appelée gwen-ru, sévit dans tous les milieux, chez les jeunes et chez les vieux, chez les femmes et chez les hommes.  On vous en proposera inévitablement sous le manteau, refusez toujours, les amendes sont lourdes si vous êtres pris.

- les fraises de Plougastel; ne les confondez pas avec les trognes de ceux qui s'adonnent au gwen-ru. Ils n'appréciront pas que  vous sucriez leur nez;

- les crêpes dentelles de Ploërmel; abusés par le terme dentelle on a vu des touristes manger des napperons;

- la patate, qui remplace le riz.

La cuisine est très rustique et vos palais d'Européens civilisés auront quelques peines à s'y faire, courage.

 

 

 

 

 

 

 Pointe du Raz

 

 

 

Chaines en dépot pendant le carénage

 

 

  

   

 

 

 

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