PROVENCE D'AZUR

Une fois Toulon passé, en prenant la direction de Nice, c’est la côte d’Azur qui commence. Des longues plages de sable et des différents petits ports, l’horizon s’ouvre sur les iles d’Hyères. Entre les activités nautiques et la découverte de la faune et de la flore gérées par le parc national de Port-Cros, vous ne pouvez pas vous ennuyer.

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     

 

  






 

 

   

HYERES (55 135 hab.)
(Iero)

 Ville de plus de 50 000 habitants, Hyères-les-Palmiers est une station Balnéaire. Cette grande commune comprend un centre d’origine médiévale en haut d’une montagne, puis la ville proprement dite, villégiature au siècle dernier, comme témoignent les nombreuses villas aristocratiques, et enfin plusieurs hameaux qui bordent le littoral et sont quasiment devenus de vrais villages : Giens et ses ports, La Capte, le port Saint-Pierre, l’Ayguade et Port Puthuau. Il ne faut pas oublier l’Almanarre et les vestiges d’Olbia qui a été l’un des ports de la Méditerranée fondé il y a 2400 ans par les Grecs. Mais le charme de la cité est aussi lié à ses iles, appelées iles d’Or : Port-Cros, Porquerolles et Le Levant.

L'Ayguade a vu débarquer le bon Roi Saint-Louis de retour de croisade. Une stèle rappelle ce fait historique. En effet, c'est le hasard de la navigation hauturière et les aléas de la météo qui firent débarquer Louis IX, dit Saint-Louis, à l'Ayguade, de retour de la septième croisade, en 1254.

Hyères ville de garnison avec le 54ème régiment d’artillerie comprend également sur la zone du Palyvestre, une base de l’aéronautique navale.

 

Presqu'Ile de Giens

Ile de Porquerolles

Ile de Port-Cros

Ile du Levant

Les Borrels

 

 

 

 

 

 

 L'Hôtel de Ville

 

 

 

 

 

Le Casino

La Gare

L'Ayguade

Port Saint-Pierre

 

Port Saint-Pierre

 

 

 

 

 

 

 

   

 

   

 La Légende des Ruines du Couvent.


Au Moyen-Age se trouvait à Saint-Pierre de l'Almanarre un monastère de Cisterciennes dont subsistent les ruines. Ce couvent était fortifié pour prévenir les terribles attaques des envahisseurs Sarrasins. Le légende raconte qu'en cas d'alerte, les fidèles chrétiens défenseurs de l'abesse accouraient au premier coup de tocsin pour protéger le couvent et ses pensionnaires.


Une abesse voulut un soir vérifier ce système de défense qui résidait surtout dans la promptitude des secours, et fit sonner le tocsin. Les fidèles répondirent aussitôt à l'appel de détresse mais, constatant qu'aucun ennemi n'était en vue, s'en retournèrent chez eux furieux d'avoir été ainsi mis à l'épreuve. Quelques mois après, les Sarrasins se montrèrent réellement et l'abesse fit sonner le tocsin. Les sauveteurs, qui avaient été dupés une première fois, restèrent tranquillement chez eux.

Les Sarrasins mirent sans encombre le couvent à sac. Pour sauver leur vertu les religieuses se coupèrent alors le nez, espérant ainsi être assez repopussantes aux assauts des pillards. Mais cette mutilation collective n'arrêta pas les Sarrasins qui avaient été privés de présence féminine depuis fort longtemps ... et qui violèrent toutes les nomnnes.

La légende ajoute encore que les soirs d'orage, le fantôme angoissé et torturé de l'abesse hante les ruines du monastère.

 

 

  

 

   

 

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